Scandal (2012)
Scandal
La vie professionnelle et personnelle d'une experte en relations publiques, Olivia Pope, particulièrement réputée pour sa gestion des crises, et de son staff, composé d'avocats débutants et confirmés, d'un expert en litige, d'un hacker et d'une détective. Fitzgerald Grant, le président des Etats-Unis, est un ...
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Terminée | Américaine | 45 minutes |
Drame, Drama | ABC, ABC (US) | 2012 |
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4.19 - La loi Brandon
I'm Just a Bill
De retour à Washington, Rowan laisse 48 heures à Olivia pour qu'elle fasse en sorte que les poursuites contre B613 soient abandonnées. Elle refuse et s'occupe d'un cas plus urgent : l'assassinat de la femme du maire sortant de Washington, dont le seul témoin est le candidat adverse. La Vice-Présidente fait des siennes en tenant à connaître les tenants et aboutissants d'un projet de loi devant être voté rapidement.
Diffusion originale : 16 avril 2015
Diffusion française :
16 avril 2015
Réalisat.eur.rice.s :
Debbie Allen
Scénariste.s :
Raamla Mohamed
Guest.s :
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Avis favorable | Déposé le 21 avril 2015 à 11:05 |
Le niveau remonte un peu avec cet épisode mais la qualité du jeu des acteurs est quand même très inégale. Je ne parlerai même pas de Kerry Washington, capable d'une expression en tout et pour tout, mais le mec qui joue son père, c'est juste pas possible. Monsieur JE JOUE MALE. Il est vraiment obligé de marteler chaque syllabe qu'il prononce ? C'est juste insupportable. |
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Critique : Scandal 4.10
Passée de série politico-judiciaire à soap romantico-cucul depuis peu, Scandal a pourtant réussi à réaliser un retour surprenant et efficace pour la suite de sa quatrième saison.
Je n'en peux plus. Je n'en peux plus de constater à chaque épisode le manque d'inspiration des scénaristes. Faire revenir le père, mais quelle bonne idée... J'ai toujours l'impression qu'ils se foutent de notre gueule. Et oui, la façon dont il parle est juste horrible. Ils mettent deux trois flashbacks à Olivia pour pas qu'on oublie ce qu'il lui est arrivé mais qui n'est plus exploité et donc possède zéro intérêt. Les scènes à la Maison-Blanche : bonjour les bouche-trous, mais pour une fois les bouche-trous étaient mieux que les scènes principales, c'est pour dire.
Twist final, dénué de toute émotion. Bonne ou mauvaise idée, on le verra par la suite.